
2025-05-20
L'embranchement
Stéphane Archambault
S’étant annoncé il
y a quelques semaines avec Solo soleil, Stéphane Archambault revient avec l’extrait L’embranchement. Celui qui s’est fait connaître comme chanteur de la
formation Mes Aïeux alimente du même
coup la parution de plus en plus imminente de Point, son premier album solo en carrière, attendu sous Bravo le 23
mai 2025.
L’embranchement met de l’avant les talents de conteur de Stéphane Archambault. Dans un récit rythmé et effervescent, il retrace – avec un débit vocal chanté-parlé évoquant quelque peu la chanson traditionnelle – l’histoire de trois gars qui suite à une soirée qui « s’éternisait de dernier verre en dernier verre », décident d’affronter une tempête hivernale pour se rendre dans un party où « il y aurait des filles et du vin ». C’était prévisible : l’auto prend le clos, mais les gars s’en sortent et des années plus tard, l’un d’eux écrit cette chanson pour tenter d’élucider pourquoi « À chaque croisée de chemins lui reviennent les mêmes questions » – celles du refrain. « Où c’est qu’on s’en va? » : on sent le mouvement, la fuite par en avant, les écueils rencontrés aussi via une cadence galopante, percussive, qui porte des échos folk contemporains à travers cette équipée.
Stéphane Archambault en signe les paroles et la musique, appuyé sur ce dernier point par Joe Grass, qui s’occupe aussi des guitares. On y retrouve également Audrey-Michèle Simard et Amylie Boisclair aux chœurs, Robbie Kuster aux batteries et percussions et Morgan Moore à la basse.
L’embranchement met de l’avant les talents de conteur de Stéphane Archambault. Dans un récit rythmé et effervescent, il retrace – avec un débit vocal chanté-parlé évoquant quelque peu la chanson traditionnelle – l’histoire de trois gars qui suite à une soirée qui « s’éternisait de dernier verre en dernier verre », décident d’affronter une tempête hivernale pour se rendre dans un party où « il y aurait des filles et du vin ». C’était prévisible : l’auto prend le clos, mais les gars s’en sortent et des années plus tard, l’un d’eux écrit cette chanson pour tenter d’élucider pourquoi « À chaque croisée de chemins lui reviennent les mêmes questions » – celles du refrain. « Où c’est qu’on s’en va? » : on sent le mouvement, la fuite par en avant, les écueils rencontrés aussi via une cadence galopante, percussive, qui porte des échos folk contemporains à travers cette équipée.
Stéphane Archambault en signe les paroles et la musique, appuyé sur ce dernier point par Joe Grass, qui s’occupe aussi des guitares. On y retrouve également Audrey-Michèle Simard et Amylie Boisclair aux chœurs, Robbie Kuster aux batteries et percussions et Morgan Moore à la basse.
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