
2025-09-11
Trocs de pêche
Bouleau Gagnon
Bouleau
Gagnon est de retour avec Trocs de pêche, second extrait qui figurera sur
son tout premier album, La joie tranquille, attendu le 17 octobre prochain. Ce
nouveau titre succède au Camp à Woody, qui a permis à l'artiste qui a
grandi entre le Saguenay-Lac-Saint-Jean et Québec de se révéler le printemps
dernier.
Avec Trocs de pêche, Bouleau Gagnon offre une chanson dans le plus pur esprit country western, se voulant à la fois terre-à-terre et rieuse. Il s’y présente comme un auteur-compositeur-interprète pour qui la musique prime sur tout… sauf peut-être le bois et la pêche.
Or il y a tout de même une chose de laquelle il ne se départira jamais, sa fidèle guitare acoustique Boucher, fabriquée à Berthier-sur-Mer, en Chaudière-Appalaches. L’instrument à la sonorité extraordinaire est d’ailleurs mis en vedette sur la pochette, accompagnant l’extrait arborant pour l’occasion comme tatouage, la carte du territoire où Bouleau Gagnon s’évade et s’ancre aussi souvent qu’il le peut. Par sa musique, Bouleau Gagnon procède à des rapprochements thématiques et stylistiques pour séduire à la fois le cowboy urbain et la poétesse de région, ayant lui-même le cœur tiraillé entre l’implacable réalité de la ville et les rêves de grands espaces vierges laurentiens. Fidèle à des valeurs d’authenticité, de fragilité et d’abnégation, sa musique se fait tantôt légère, tantôt grave, transmettant la joie tranquille qui fait sa marque.
Réalisé par Denis Ferland, qui ajoute également son empreinte à la guitare électrique, le premier album de Bouleau Gagnon réunira des musiciens parmi les plus aguerris et respectés de la province. On y retrouve ainsi Marc-André Larocque (batterie), Richard Deschênes (basse), François Richard (claviers), Joe Grass (pedal steel, mandoline), Sheila Hannigan (violoncelle), Chantal Bergeron (violon), Ligia Paquin (alto) et Mélanie Bélair (violon).
Ayant le cœur tiraillé entre urbanité et ruralité, Bouleau Gagnon pratique la chanson québécoise avec profondeur et engagement. Possédant des racines ancrées dans le Saguenay-Lac-Saint-Jean, il s’est transplanté à Québec, Bruxelles, Laval et Toronto, et il travaille maintenant dans la grande région de Montréal. Dans sa musique, Bouleau Gagnon arbore tour à tour des habits folk, western et blues, accompagnant sa voix de baryton de sa fidèle guitare acoustique. Sa sensibilité et sa vulnérabilité sont soutenues par une musique qui allie un country gazon terre-à-terre à un folk introspectif plus lyrique. Incarnant fièrement la langue du Québec et son terroir, il propose des pièces au vocabulaire fouillé, aux images évocatrices et à la dimension narrative très riche, s’appuyant sur son étude approfondie du français et de la littérature.
Avec Trocs de pêche, Bouleau Gagnon offre une chanson dans le plus pur esprit country western, se voulant à la fois terre-à-terre et rieuse. Il s’y présente comme un auteur-compositeur-interprète pour qui la musique prime sur tout… sauf peut-être le bois et la pêche.
Or il y a tout de même une chose de laquelle il ne se départira jamais, sa fidèle guitare acoustique Boucher, fabriquée à Berthier-sur-Mer, en Chaudière-Appalaches. L’instrument à la sonorité extraordinaire est d’ailleurs mis en vedette sur la pochette, accompagnant l’extrait arborant pour l’occasion comme tatouage, la carte du territoire où Bouleau Gagnon s’évade et s’ancre aussi souvent qu’il le peut. Par sa musique, Bouleau Gagnon procède à des rapprochements thématiques et stylistiques pour séduire à la fois le cowboy urbain et la poétesse de région, ayant lui-même le cœur tiraillé entre l’implacable réalité de la ville et les rêves de grands espaces vierges laurentiens. Fidèle à des valeurs d’authenticité, de fragilité et d’abnégation, sa musique se fait tantôt légère, tantôt grave, transmettant la joie tranquille qui fait sa marque.
Réalisé par Denis Ferland, qui ajoute également son empreinte à la guitare électrique, le premier album de Bouleau Gagnon réunira des musiciens parmi les plus aguerris et respectés de la province. On y retrouve ainsi Marc-André Larocque (batterie), Richard Deschênes (basse), François Richard (claviers), Joe Grass (pedal steel, mandoline), Sheila Hannigan (violoncelle), Chantal Bergeron (violon), Ligia Paquin (alto) et Mélanie Bélair (violon).
Ayant le cœur tiraillé entre urbanité et ruralité, Bouleau Gagnon pratique la chanson québécoise avec profondeur et engagement. Possédant des racines ancrées dans le Saguenay-Lac-Saint-Jean, il s’est transplanté à Québec, Bruxelles, Laval et Toronto, et il travaille maintenant dans la grande région de Montréal. Dans sa musique, Bouleau Gagnon arbore tour à tour des habits folk, western et blues, accompagnant sa voix de baryton de sa fidèle guitare acoustique. Sa sensibilité et sa vulnérabilité sont soutenues par une musique qui allie un country gazon terre-à-terre à un folk introspectif plus lyrique. Incarnant fièrement la langue du Québec et son terroir, il propose des pièces au vocabulaire fouillé, aux images évocatrices et à la dimension narrative très riche, s’appuyant sur son étude approfondie du français et de la littérature.
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